Ma Lysie au Paradis des chiens ...
Ainsi tu es partie, ma Lysie. Tes petits petons ne te portaient plus. Tes yeux se voilaient de fatigue. Il te restait encore juste assez de force pour rester digne. 17 ans passés auprès de nous à nous donner tant d'amour et d'affection. Samedi 4 décembre 2010, tu as franchi l'arc-en-ciel qui mène ailleurs. Nous voulons croire que cet "Ailleurs" est comme le paradis des chiens - un lieu parcouru de grands espaces fleuris où t'attendra ta soeur Nina. Vous vous retrouvez enfin toutes les deux et cette-fois à jamais réunies dans le doux souvenir que nos coeurs portent de vous. Ma Lysie, je me souviens de tes jolis yeux qui brillaient, de tes grognements de tendresse, de ces moments où tu me faisais la "fête" et que tu t'agitais comme une "tite folle". Tout comme ta soeur, tu avais ce pouvoir de ressentir les choses. Tu venais me voir lorsque je n'étais pas bien. Tu m'accompagnais avec tant de fidélité n'oubliant jamais d'être présente lorsque j'en avais besoin. J'aurai voulu ne jamais que tu partes mais la vie est faite ainsi et nous versons quelques larmes de tristesse. Ma Lysie, je garderai de toi un souvenir inaltérable. Je te réserve un coin de mon coeur où nous pourrons nous retrouver à chaque instant. Tous les jours je te dédierai une petite pensée en espérant qu'elle fasse son chemin jusqu'à toi et qu'elle te trouve en cet "Ailleurs" où tu es maintenant. Mon petit chien-soleil ta lumière restera longtemps en moi. Je la sens briller encore si fort en moi que parfois il m'arrive de croire que tu es toujours là, dans un coin de la maison. Ma Lysie, ton départ est une immense tristesse pour toute la famille et tu nous manques déjà beaucoup. Lorsque tu as fermé les paupières, ta petite tête reposait contre ma poitrine et mes bras t'entouraient de toute la chaleur de mon coeur. Simplement, je voulais, mon Peton, que tu partes sans avoir froid ...
S'il existe "quelqu'un" pour les chiens et s'il veut, en ce moment même, Lysie et Nina sont ensemble quelque part ...
Veille sur nous ma Lysie, je pense si fort à toi ...